REFLEXION PERSONNELLE
Généralement, je n'aime pas me jutifier par rapport à mes publications et encore moins de répondre aux provocations. Malheuresement certains esprits médiocres et archaïques m'obligent à le faire encore une fois. Je considère que chacun est libre de me lire ou pas, je n'attends pas à ce que vous me remercier mais plutôt de confirmer ou d'infirmer mes dires en faisant vos propres recherches. Par mes publications sur le groupe, je savais qu'un jour je serai face à des lecteurs qui se questionnent sur le Made in Tlemcen et le Made by Tlemceni. Dans ce sens, je vous encourage à consulter mes anciennes publications toujours accéssibles sur le blog.
Personnellement, je considère que Tlemcen n'a pas à se plaindre du mixage des cultures et des apports qu'elle a vu passer au cours des siècles. Par mes publications, j'essaye de souligner l'attirance qu'excerça les autres civilisations et les autres peuples sur Tlemcen. Il convient d'ajouter au gros noyau de Tlemceniens natifs, des petits groupes compacts formés ailleurs, dans d'autres villes Algériennes, en Andalousie, en Europe, en afrique, au Maghreb...Point n'est ici question de rabaisser Tlemcen bien au contraire, en essayant d'insister sur ces apports venus d'ailleurs, je place Tlemcen au centre des evênements historiques et les Tlemcenis comme une charnière dans la "Symbiose cordiale et la tolérence".
Cette part des autres civilisation dans le passé Tlemcenien a suscité depuis longtemps une contreverse passionée qui a opposé d'imminents historiens. Aujourd'hui, pour certains historiens et chercheurs "d'occasion", Tlemcen la cosmopolite ne leur apparaissait pas comme un tout doué d'une existance (Amazighe) propre, fixée, sur laquelle se serait excercée une influence occasionelle de plusieurs civilisation comme une "mode" ou simplement comme un résultat de la vie de cette époque. Pourtant, il est évident, à la lumière de travaux sûrs Tlemcen comme pleines d'autres villes se fit à mesure qu'elle incorporait et greffait à sa vie tout ce qui obligeait à faire son association avec son patrimoine primitif Amazighe. De plus, pour un observateur subtil la coexistance des trois religions sur le sol tlemcenien fut un fait marquant d'une importance capitale dans la vie de Tlemcen du médiévale.
L'idée adverse est soutenue par des historiens et chercheurs "d'occasion", et considèrent que l'influence des autres civilisations sur la culture et les moeurs de Tlemcen dut être insignifiante dans une Tlemcen de race, de vie et de culture.
Je vous laisse le choix de trancher entre ces deux thèses, pour ma part je maintiens ma position et j'insiste sur le fait qu'avec "la délimitation historique", Tlemcen trahit son histoire et son identité. Ce brassage culturel qui tient du import/export a donné à Tlemcen son originalité. Posez-vous la question qu'est-ce qui définit Tlemcen et le Tlemcenien?
Personnellement, je considère que Tlemcen n'a pas à se plaindre du mixage des cultures et des apports qu'elle a vu passer au cours des siècles. Par mes publications, j'essaye de souligner l'attirance qu'excerça les autres civilisations et les autres peuples sur Tlemcen. Il convient d'ajouter au gros noyau de Tlemceniens natifs, des petits groupes compacts formés ailleurs, dans d'autres villes Algériennes, en Andalousie, en Europe, en afrique, au Maghreb...Point n'est ici question de rabaisser Tlemcen bien au contraire, en essayant d'insister sur ces apports venus d'ailleurs, je place Tlemcen au centre des evênements historiques et les Tlemcenis comme une charnière dans la "Symbiose cordiale et la tolérence".
Cette part des autres civilisation dans le passé Tlemcenien a suscité depuis longtemps une contreverse passionée qui a opposé d'imminents historiens. Aujourd'hui, pour certains historiens et chercheurs "d'occasion", Tlemcen la cosmopolite ne leur apparaissait pas comme un tout doué d'une existance (Amazighe) propre, fixée, sur laquelle se serait excercée une influence occasionelle de plusieurs civilisation comme une "mode" ou simplement comme un résultat de la vie de cette époque. Pourtant, il est évident, à la lumière de travaux sûrs Tlemcen comme pleines d'autres villes se fit à mesure qu'elle incorporait et greffait à sa vie tout ce qui obligeait à faire son association avec son patrimoine primitif Amazighe. De plus, pour un observateur subtil la coexistance des trois religions sur le sol tlemcenien fut un fait marquant d'une importance capitale dans la vie de Tlemcen du médiévale.
L'idée adverse est soutenue par des historiens et chercheurs "d'occasion", et considèrent que l'influence des autres civilisations sur la culture et les moeurs de Tlemcen dut être insignifiante dans une Tlemcen de race, de vie et de culture.
Je vous laisse le choix de trancher entre ces deux thèses, pour ma part je maintiens ma position et j'insiste sur le fait qu'avec "la délimitation historique", Tlemcen trahit son histoire et son identité. Ce brassage culturel qui tient du import/export a donné à Tlemcen son originalité. Posez-vous la question qu'est-ce qui définit Tlemcen et le Tlemcenien?
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