À Tlemcen, il n y a pas eu à proprement parler de l'histoire du Costume traditionel en dehors du caftan dernièrement que se soit le Costume masculin ou Féminin. On voit souvent des photos, ou des peintures d'hommes, enfants et femmes maurèsques qui suggèrent qu'à l'origine on s'intéréssait au Costume simplement d'un point de vu romentique, c'est è dire soit il s'agit de fournir aux artistes, peintres ou photographes des éléments figuratifs de "la couleur locale" nécéssaire à leurs oeuvres, soit que l'historien s'éffoçât d'établir une équivalence entre la forme vestimentaire et "l'esprit en général" d'un temps ou d'un lieu.
Je pense qu'on doit se garder évidemment les composantes sociales du Costume: Groupes d'âge, sexes, classes, degrés de culture, localisations...et même le degré deséordre et de saleté du vêtement porté. Le Costume n'a pas de valeur sociologique sans si le désordre fonctionne comme un signe intentionel. À l'inverse, un fait d'apparence moindre comme le cas du caftan, par exemple, est un fait de Costume, il a une forte valeur sociale.
En fait ce doit personellement m'interesser ici est "la tendance" du vêtement féminin en particulier et pendant Tlemcen des Zianides,
Les Tlemceniennes de cette époque portaient des "Sarouals" et des chemises en cotton couvertes d'une sorte de tablier. Les plus aisées avaient les moyens de s'offrir des les même tenues en soie ce qui permettait de distinguer facilement leur rang social...il s'agit de la tenue appelée "Sefsari Zianide".
Deux accéssoires étaient indispensables pour la femme Tlemcenienne: la ceinture, légère et faite généralement de laine. L'autre c'est la "Chachia" brodée au fil d'or.
Elles utilisaient un Hayek de couleur blanche ou noir fait à Tlemcen, et un "khimar" noir ou bleu ou encore une Fichus qui couvre la tête et les épaules.
Depuis cette époque, la femme Tlemcenienne avait un faible pour les pierres précieuses, les perles, les bijoix en or en portant les colliers, bracelets ou les Kholkhal au pieds.
Si les hommes de Tlemcen étaient élégants et n'hésitaient pas à dépenser une partie de leur salaire dans l'achat de l'habillement et des chaussures de luxe, les Tlemceniennes quant à elles n'ont jamais pensé à réduire leur budget vêtements. Il faut dire qu'elles étaient très soucieuses de leur apparence externe féminine. Elles étaient très élégantes aussi, aristocratiques, coquettes, harmonieuses et gracieuses. On racontait qu'elles resseblaient beaucoup aux femmes de Marrakech par leur simplicité et leur manière.
Pour le maquillqge et la cosmétique, la femme de Tlemcen décorait ses mains et ses pieds avec du Hénné, les yeux avec du "kohl", se nettoyaient les dents avec le "Siwak" et se parfumait avec des odeurs venues de l'orient et de l'andalousie telles le Musk, l'amber et l'eau de rose.
À Tlemcen, il n y a pas eu à proprement parler de l'histoire du Costume traditionel en dehors du caftan dernièrement que se soit le Costume masculin ou Féminin. On voit souvent des photos, ou des peintures d'hommes, enfants et femmes maurèsques qui suggèrent qu'à l'origine on s'intéréssait au Costume simplement d'un point de vu romentique, c'est è dire soit il s'agit de fournir aux artistes, peintres ou photographes des éléments figuratifs de "la couleur locale" nécéssaire à leurs oeuvres, soit que l'historien s'éffoçât d'établir une équivalence entre la forme vestimentaire et "l'esprit en général" d'un temps ou d'un lieu.
Je pense qu'on doit se garder évidemment les composantes sociales du Costume: Groupes d'âge, sexes, classes, degrés de culture, localisations...et même le degré deséordre et de saleté du vêtement porté. Le Costume n'a pas de valeur sociologique sans si le désordre fonctionne comme un signe intentionel. À l'inverse, un fait d'apparence moindre comme le cas du caftan, par exemple, est un fait de Costume, il a une forte valeur sociale.
En fait ce doit personellement m'interesser ici est "la tendance" du vêtement féminin en particulier et pendant Tlemcen des Zianides,
Les Tlemceniennes de cette époque portaient des "Sarouals" et des chemises en cotton couvertes d'une sorte de tablier. Les plus aisées avaient les moyens de s'offrir des les même tenues en soie ce qui permettait de distinguer facilement leur rang social...il s'agit de la tenue appelée "Sefsari Zianide".
Deux accéssoires étaient indispensables pour la femme Tlemcenienne: la ceinture, légère et faite généralement de laine. L'autre c'est la "Chachia" brodée au fil d'or.
Elles utilisaient un Hayek de couleur blanche ou noir fait à Tlemcen, et un "khimar" noir ou bleu ou encore une Fichus qui couvre la tête et les épaules.
Depuis cette époque, la femme Tlemcenienne avait un faible pour les pierres précieuses, les perles, les bijoix en or en portant les colliers, bracelets ou les Kholkhal au pieds.
Si les hommes de Tlemcen étaient élégants et n'hésitaient pas à dépenser une partie de leur salaire dans l'achat de l'habillement et des chaussures de luxe, les Tlemceniennes quant à elles n'ont jamais pensé à réduire leur budget vêtements. Il faut dire qu'elles étaient très soucieuses de leur apparence externe féminine. Elles étaient très élégantes aussi, aristocratiques, coquettes, harmonieuses et gracieuses. On racontait qu'elles resseblaient beaucoup aux femmes de Marrakech par leur simplicité et leur manière.
Pour le maquillqge et la cosmétique, la femme de Tlemcen décorait ses mains et ses pieds avec du Hénné, les yeux avec du "kohl", se nettoyaient les dents avec le "Siwak" et se parfumait avec des odeurs venues de l'orient et de l'andalousie telles le Musk, l'amber et l'eau de rose.
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