Le poète Ibn Khamis de Tlemcen s'est retrouvé dans l'obligation de fuire sa ville natale pour aller à Grenade dans des circonstances dramatiques. L'absence de nouvelles de Tlemcen le déchirent profondément, mais son attente ne débouche que sur le désespoir. Grenade et les jardins de l'Alhambra ne réussiront pas à apaiser la profonde douleur qui l'étreint. Son passé et ses souvenirs lui sont son seul refuge. Ibn Khamis continu de se préoccuper du sort de Tlemcen, et il ne laisse pas de se remémorer le passé Tlemcenien, il écrit:
"Mon regard alors se promenait librement sur ces jardins et ma monture parcourait ces hippodromes.
Là-bas (à Tlemcen) l'esprit est vif et se donne librement carrière, des rêves séduisants y voltigent comme les flocons de neige.
Les jeunes filles ressemblent à de jeunes chamelles qui penchent gracieusement le cou, tandis que les oiseaux des jardins chantent et grazouillent sans cesse"
"Mon regard alors se promenait librement sur ces jardins et ma monture parcourait ces hippodromes.
Là-bas (à Tlemcen) l'esprit est vif et se donne librement carrière, des rêves séduisants y voltigent comme les flocons de neige.
Les jeunes filles ressemblent à de jeunes chamelles qui penchent gracieusement le cou, tandis que les oiseaux des jardins chantent et grazouillent sans cesse"

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