LA FIN D'UN ROI ET LA PORTE DE LA JUGEMENT, باب الشريعة
Nous connaisson surtout Boabdil, ou El Rey Chico le dernier roi de Grenade. Qui de nous ne s'est pqs ému en lisant le départ de ce roi vaincu sur une coline en sortant de Grenade, l'endroit est toujours désigné sous le nom de: Suspiro del Moro ou le dernier soupir du Maure pour regrader son royaume de Grenade à jamais perdu? Aîcha sa mère lui dira; ''Tu fais bien de Pleurer comme une femme un royaume que tu n'a pas défendu comme un homme''. Vous l'avez bien compris, Boabdil ne fut pas un héro. Prince sans courage, vain présomptueux, il a accumulé crimes sur crimes, fautes sur fautes, lâcheté sur lâcheté. Tel fut Boabdil, El Zoghbi le malencontreux.
On savait que Boabdil après sa déchéance avait pris la direction de l'Afrique du nord sur un navire mis à sa disposition par Ferdinand. On s'est qu'il a débarqué à Orand en 1493 et àa partir de ce moment l'histoire était restée muette sur son compte.
La légende seule avait constinué de s'occuper du Zoghbi. ne tradition voulait qu'il eût étét demandé asile chez le roi de Fès et qu'après un long séjours dans ce pays il eût été assassié sur les bords du Oued El Aswad en combattant les chérif du Maroc. Cette bataille a eu lieu en 1556. Boabdil eût été octogénaire à cette époque. Ici on peut se demander comment un prince qui avait montré si peu de virilité dans sa jeunesse aurait fini en héro dans un âge avancé??
L'autre légende veut que Boabdil ayant été chez le roi de Fès celui-ci lui ait fait perdre la vue par un affreux supplice et l'ait envoyé mendier son pain avec un écriteau portant ces mots: "Je suis l'infortuné roi de l'Andalousie"
L'autre légende était basée sur la travaux de Brosselard ancien préféet d'Oran qui nous apprend en démolissant un ancienne maison à Tlemcen trouva sur la pièce qui servait de seuil l'épitaphe du dernier roi de Greande mais cette histoire nous avon déjà eu l'occasion de l'infirmer dans les précédentes publications. Je vous invite de les consulter si vous voulez.
Si vous avez eu l'occasion de visiter la Médina El Hamra ou l'Alhambra vous remarquerez l'imposante porte du jugement. Cette porte a été construite en 1348, nommée la porte du jugement, باب الشريعة car c'est sous cette porte que les jugements se rendaient selon la charia. Architecturallement, elle présente un bel arc en fer-à- cheval ou l'on remarque scultée sur une plaque en marbre une main avec l'avant bras qui s'élève vers le ciel. un peu plus haut est un cléf scultée aussi.
"Vous entrerez dans Grenade quand la main aura rejoint la clef" disaient les musulmans aux Espagnoles. Boabdil put voir l'inanité de cette fanfaronade. À l'époque chez les musulmans la main ouverte est l'emblème qui met en fuite les armées ennemies et rend vaines les conjurations des magiciens. La clef représente le pouvoir donné par Dieu au prophète de l'islam d'ouvrir ou fermer les portes du ciel, Paradis ou l'enfer.
Nous connaisson surtout Boabdil, ou El Rey Chico le dernier roi de Grenade. Qui de nous ne s'est pqs ému en lisant le départ de ce roi vaincu sur une coline en sortant de Grenade, l'endroit est toujours désigné sous le nom de: Suspiro del Moro ou le dernier soupir du Maure pour regrader son royaume de Grenade à jamais perdu? Aîcha sa mère lui dira; ''Tu fais bien de Pleurer comme une femme un royaume que tu n'a pas défendu comme un homme''. Vous l'avez bien compris, Boabdil ne fut pas un héro. Prince sans courage, vain présomptueux, il a accumulé crimes sur crimes, fautes sur fautes, lâcheté sur lâcheté. Tel fut Boabdil, El Zoghbi le malencontreux.
On savait que Boabdil après sa déchéance avait pris la direction de l'Afrique du nord sur un navire mis à sa disposition par Ferdinand. On s'est qu'il a débarqué à Orand en 1493 et àa partir de ce moment l'histoire était restée muette sur son compte.
La légende seule avait constinué de s'occuper du Zoghbi. ne tradition voulait qu'il eût étét demandé asile chez le roi de Fès et qu'après un long séjours dans ce pays il eût été assassié sur les bords du Oued El Aswad en combattant les chérif du Maroc. Cette bataille a eu lieu en 1556. Boabdil eût été octogénaire à cette époque. Ici on peut se demander comment un prince qui avait montré si peu de virilité dans sa jeunesse aurait fini en héro dans un âge avancé??
L'autre légende veut que Boabdil ayant été chez le roi de Fès celui-ci lui ait fait perdre la vue par un affreux supplice et l'ait envoyé mendier son pain avec un écriteau portant ces mots: "Je suis l'infortuné roi de l'Andalousie"
L'autre légende était basée sur la travaux de Brosselard ancien préféet d'Oran qui nous apprend en démolissant un ancienne maison à Tlemcen trouva sur la pièce qui servait de seuil l'épitaphe du dernier roi de Greande mais cette histoire nous avon déjà eu l'occasion de l'infirmer dans les précédentes publications. Je vous invite de les consulter si vous voulez.
Si vous avez eu l'occasion de visiter la Médina El Hamra ou l'Alhambra vous remarquerez l'imposante porte du jugement. Cette porte a été construite en 1348, nommée la porte du jugement, باب الشريعة car c'est sous cette porte que les jugements se rendaient selon la charia. Architecturallement, elle présente un bel arc en fer-à- cheval ou l'on remarque scultée sur une plaque en marbre une main avec l'avant bras qui s'élève vers le ciel. un peu plus haut est un cléf scultée aussi.
"Vous entrerez dans Grenade quand la main aura rejoint la clef" disaient les musulmans aux Espagnoles. Boabdil put voir l'inanité de cette fanfaronade. À l'époque chez les musulmans la main ouverte est l'emblème qui met en fuite les armées ennemies et rend vaines les conjurations des magiciens. La clef représente le pouvoir donné par Dieu au prophète de l'islam d'ouvrir ou fermer les portes du ciel, Paradis ou l'enfer.
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